Hier soir, alors que je jouais avec mes furets, la voisine du bas a débarqué pour me dire que je faisais trop de bruit.
Je me suis excusé et ai promis de faire attention à l'avenir.
Ce matin, je reçois un coup de téléphone de ma propriétaire, catastrophée, qui veut me mettre dehors parce que mes furets "détruisent son appartement".
Après avoir réussi à la rassurer sur l'état de l'appartement en l'invitant à venir s'en rendre compte par elle-même, je comprends que la voisine du bas est allée lui raconter que mes furets rongeaient le parquet (pourtant ce ne sont pas des rongeurs), déchiraient le papier-peint (je leur ai coupé les griffes la semaine passée) et faisaient pipi sur les carreaux (pardon ???).
Elle a même prétendu que je vivais sans aucun meuble (j'ai dû être trop discret quand j'ai emménagé). Je ne sais pas ce qu'elle fume mais ça doit sûrement être puissant !

Ce week-end et déjà depuis plusieurs soirs, mon voisin d'à côté parle super fort et rie super fort mais tout seul. Et ça, au point de m'empêcher de dormir!
Mais ce qu'il faut savoir, c'est que ce voisin, c'est mon fiancé qui préfère jouer à Warhammer Online dans son bureau plutôt que de venir se coucher avec moi.
Et oui, même chez soi, on peut être embêté........

Pourquoi certains esprits mal tournés pensent qu'une trentenaire mariée, pas trop moche sans faire d'effort, a forcement un amant, dès que son meilleur ami passe la chercher ?
D'autant qu'avant d'apprendre que cette femme est mariée, le concierge en question la matait, la sifflait et la draguait...

J'habitais auparavant dans un appartement situé dans un pavillon.
Pendant près de 3 ans ma voisine du dessus alcoolique m'en a fait voir de toutes les couleurs (prise de têtes avec son copain toute la nuit, claquages de portes, musique à fond...)
N'en pouvant plus je décide de déménager. J'emménage avec grand bonheur dans un joli 2 pièce. La tranquillité, le rêve.
Évidemment, ça ne pouvait pas durer, 8 mois plus tard, débarque une nouvelle voisine qui vient d'acheter l'appartement au dessus.
Au départ, musique légèrement forte en soirée, bon. Par la suite musique à fond le jour comme la nuit. Comme si ça ne suffisait pas à mon malheur, ma voisine est schizophrène, elle vit seule et crie après des personnages imaginaires en pleine nuit.
Après 3 mois de sursis (elle avait disparue) elle revient de plus belle avec des cris à vous faire frissonner d'angoisse à 3H, 4 ou 5H du matin.
Je n'en peux plus, j'ai fait une main courante, mais les policiers n'ont même pas daigné prendre son nom. Je dors désormais au bureau la semaine et chez moi le week-end. Voisine de MERDE.

Tout problème à sa solution...
Mes voisines du dessous, deux jeunes étudiantes à qui papa et maman ont achetés le même appartement que je mettrais 15 ans à me payer, vivaient jours et nuits dans un bordel immonde, tant au niveau du bruit (beuveries toutes les nuits) que des allers-retours, que de l'odeur de la litière du chat...
Bref, après plusieurs avertissements de tout l'immeuble, mon tempérament vengeur à pris le dessus et les nuisances ont fini par cesser. L'astuce ? Une allumette et de la super-glue.
Le mode d'emploi est simple : plantez l'allumette dans la serrure légèrement relevée, puis faites couler la super-glue le long du bout de l'allumette pour qu'elle pénètre dans la serrure. Quand le tout est solidifié, casser l'allumette au plus près de la serrure.
Renouveler l'opération autant que nécessaire.
Pour mes voisines, cela a été très efficace.
ps : C'est mon patron, pharmacien biologiste, qui m'as donné l'astuce à force de me voir arriver au travail après de nombreuses nuits d'insomnies...

Mon voisin du dessus attend toujours minuit pour prendre un bain et regarde des films X avec le son à fond à des heures improbables... et fait de drôles de bruit... Voisin de merde.

Quand les voisines du dessous s'entretuent, c'est tout l'immeuble qui tremble !
C'est sans surprise qu'un soir vers 22h00 j'entends les premiers mots forts s'échanger entre ma voisine (50 ans, un peu frustrée) et sa fille (18 ans, très parisienne mais encore ado).
Certes, après une journée de boulot, je ne suis pas très attentif à leur chamailleries, mais lorsque les hurlements de la fille et bruits des meubles qui bougent parviennent à couvrir le son de ma télé, je commence à me poser des questions... "P... mais elle est en train d'égorger sa propre fille ou quoi ?". C'est le coeur battant que j'essaie de réfléchir à mon rôle de "spectateur involontaire" de cette histoire. "Dois-je descendre les calmer ? Si c'est pour prendre le prochain coup de couteau, pas question !" Et finalement, lorsque le calme revient après une demi-heure de lutte acharnée (j'entends toujours la fille, c'est bon signe) de se dire : "on est bien tous les mêmes et on choisit pas sa famille"... Voisins de merde !

Le matin c'est la musique à fond, l'après-midi le chien qui aboie parce qu'il est seul, le soir et/ou la nuit des cries de fous comme si c'était des vampires ou des aliens en mutation.
Comment rester zen avec tout ça ?!
J'ai essayé de dialoguer mais, rien à faire, ils sont trop cons. Ils n'ont aucun respect pour rien, ni personne.
Seul solution : partir vivre en ermite en haut d'une montagne !
Je terminerai sur cette citation.
Un mauvais voisin est une calamité, un bon voisin un vrai trésor.
[Hésiode]

Quand on a emménagé en 2006, cet appartement était parfait : hyper calme, spacieux, prix abordable.
Et puis ça s'est gâté en 2008, avec l'arrivée d'un groupe de jeunes qui faisait la fiesta jusqu'à 3 heures du matin en pleine semaine.
Ils écoutaient de la musique pourrie, à fond, pendant 12 heures d'affilées parfois. Ils fumaient de la drogue et buvaient, ensuite ils racontaient leur vie sur leur terrasse.
Quand ils rentraient de boîte, ils stagnaient dans le parking et hurlaient pendant des heures. On a finalement porté plainte et ils ont reçu des avertissements de la part du bailleur.
Le comble se déroula un soir vers 2h , j'ai entendu la voisine qui vivait là répondre à son invité qui s'inquiétait pour le voisinage, dans un language fleuri : "je n'ai pas à respecter des gens qui ne me respectent pas".