Cela fait six mois que j'habite un appartement avec des voisins très bruyants ! N'en pouvant plus, je suis résolue à déménager en parlant de ma décision à ma gardienne...
Celle-ci me félicite :
"Bravo vous êtes la locataire qui aura tenu le plus longtemps !"

Depuis que nous avons emménagé c'est la guerre avec nos voisines du dessous.
Elles ne supportent rien, elles se plaignent du bruit de l'ascenseur, des feuilles qui tombent sur la terrasse... Donc je vous laisse imaginer lorsque nous faisons une soirée !
C'est dingue comme une situation banale peut prendre des proportions énormes.

Quand je fais le ménage dans la co-propriété, ma voisine a la fâcheuse habitude d'ouvrir la porte et de me regarder. Et oui, dans notre co-propriété, chaque co-propriétaire doit faire le ménage suivant sa semaine attribuée. Elle m'avait déjà fait le coup mais je l'attendais. Elle me regarde, mon sang ne fait qu'un tour et je lui balance "vous jouez les inspecteurs des travaux finis ?"
Elle me baragouine un truc dans son franco-portugais, je comprends rien.
Alors je lui rétorque, "vous jouez les concierges c'est bien".
Et là... elle rentre chez elle.
Casséeeeeeeeeeeeeeeeeee.
Voisine de merde

Hier, j'ai été malade comme un chien : fièvre, frissons, fatigue générale...
Je décide de rester chez moi pour me reposer un peu : à 10 heures, je m'allonge dans mon lit.
10h05, on déplace des meubles, on cogne dans les murs, on tape sur le sol. Et ça a duré 2 heures.
Si j'étais parano, je penserais qu'on m'espionne.

Quoi de plus beau qu'une voisine qui invite des copines le soir pour faire causette, le voisin du dessus qui déménage, et le 3ème qui tape contre le mur pour que les 3 filles se taisent, et ce jusqu'à 2h plusieurs fois par semaine... ?

J'habite cet immeuble depuis le 8 mai 2009. Je pensais avoir la paix, mais mon voisin que j'ai surnommé PM (Pistolet Mitrailleur) ou (Pistolet Mou) rouspète à chaque fois que des copains montent chez moi, ou quand j'ai le malheur de percer des trous l'après-midi pour accrocher des cadres (Moi, j'y accrocherais bien sa photo de tête de con avec des oreilles de cochon à cet abruti).
De plus, il prétend qu'il m'entend marcher dans l'appartement et que je taperais du talon. Complètement fou, le mec ! Et quand c'est lui qui tape dans les murs, il faut rien dire car monsieur se fâche ! Quel idiot !
Moi, il m'énerve et je lui casserai bien la figure, à cet abruti... Quel voisin de merde !

Quand j'ai profité de le croiser pour demander à mon voisin de faire moins de bruit le soir (bruit pas excessif, mais suffisant pour l'entendre malgré les boules quiès, et ce tous les soirs de 22h à - au moins - 2h du matin), il m'a répondu "moi parle pas français".
On fait quoi contre la mauvaise foi ?
Et si ça n'en est pas, comment on règle ce genre de situation ?

A l'heure où je vous écris, j'apprends en direct que mon voisin est homo et qu'il aime, je cite, se faire "défoncer la rondelle comme une sale chienne"... Et je n'ai rien pour enregistrer ça !

Moi et mon amie rentions d'une petite soirée tranquille et voilà : qui nous attendait sur le balcon ? LA VOISINE ! Voici qu'elle commence à nous raconter que son mari est retourné boire... au bout d'un certain moment mon amie trouve une excuse pour s'éclipser.
Plus tard, rebelote, elle nous a laissé des messages vocaux en racontant de nouveau sa vie et sa soirée, ainsi que son mari parti sur la place avec Mounir ou peut-être au café du coin ou bien à la crêperie.
Malheur, on n'en peut plus !
Là, il est rentré alors vu que les murs sont en carton, on re-vie l'histoire et la scène de ménage.. auuuuuuuu seeecourrr

J'habite à la campagne, les Vosges profondes (c'est rien de le dire vu le niveau intellectuel et de tolérance !...) dans un village de 1300 habitants.
Grâce à mes charmants voisins, tout le monde est persuadé que je suis (ce n'est pas le cas) une abominable "gouine", "une pute" et une "sale gonne" (gonne en patois vosgien veut dire : putain, pute, salope, au propre comme au figuré) et que même je suis susceptible de m'en prendre aux enfants.
De fait, je me fais injurier sans arrêt. Charmante communauté, ouverte, gracieuse, accueillante.
Où il ne fait pas bon être une femme seule, la quarantaine bien entamée, et handicapée.