Petite suite de mon histoire avec mes voisins envahissants, ils sont d'un seul coup devenus des voisins en or... en disparaissant tout simplement :)
Cela va bientôt faire un mois qu'ils ont mit les voiles on ne sait où, en laissant ce qu'il restait de leurs affaires (le reste étant vendu dans divers dépôts-vente) et sans payer un seul des loyers.
Bref, je pense pouvoir parler au nom de mon proprio en disant que c'est des locataires de merde, et pour mon compte pas de voisins, c'est des voisins en or :D

Quand je fais le ménage dans la co-propriété, ma voisine a la fâcheuse habitude d'ouvrir la porte et de me regarder. Et oui, dans notre co-propriété, chaque co-propriétaire doit faire le ménage suivant sa semaine attribuée. Elle m'avait déjà fait le coup mais je l'attendais. Elle me regarde, mon sang ne fait qu'un tour et je lui balance "vous jouez les inspecteurs des travaux finis ?"
Elle me baragouine un truc dans son franco-portugais, je comprends rien.
Alors je lui rétorque, "vous jouez les concierges c'est bien".
Et là... elle rentre chez elle.
Casséeeeeeeeeeeeeeeeeee.
Voisine de merde

Hier, j'ai été malade comme un chien : fièvre, frissons, fatigue générale...
Je décide de rester chez moi pour me reposer un peu : à 10 heures, je m'allonge dans mon lit.
10h05, on déplace des meubles, on cogne dans les murs, on tape sur le sol. Et ça a duré 2 heures.
Si j'étais parano, je penserais qu'on m'espionne.

Quand on a emménagé en 2006, cet appartement était parfait : hyper calme, spacieux, prix abordable.
Et puis ça s'est gâté en 2008, avec l'arrivée d'un groupe de jeunes qui faisait la fiesta jusqu'à 3 heures du matin en pleine semaine.
Ils écoutaient de la musique pourrie, à fond, pendant 12 heures d'affilées parfois. Ils fumaient de la drogue et buvaient, ensuite ils racontaient leur vie sur leur terrasse.
Quand ils rentraient de boîte, ils stagnaient dans le parking et hurlaient pendant des heures. On a finalement porté plainte et ils ont reçu des avertissements de la part du bailleur.
Le comble se déroula un soir vers 2h , j'ai entendu la voisine qui vivait là répondre à son invité qui s'inquiétait pour le voisinage, dans un language fleuri : "je n'ai pas à respecter des gens qui ne me respectent pas".

Mes voisins du deuxième étage (j'habite au quatrième) ont des enfants qui ne cessent de hurler toute la journée, et le soir jusqu'à 23h00.
Venant d'acheter l'appartement au dessus d'eux, moi et ma femme étions réveillés soit à 2h00 du matin par le père qui rentrait du boulot (il travaille dans un restaurant) et qui ne pouvait s'empêcher de jouer avec ses enfants qui n'étaient pas encore couchés, soit par des grincements de chaise sur le sol ou des claquements de portes de placard, ou encore par leur petite fille qu'ils laissaient hurler pendant environ une heure de 3h à 4h du matin.
Après être descendus 2 fois les voir aux heures où il me réveillait (2h du mat), et une autre fois pour leur demander de ne pas laisser pleurer leur fille pendant des heures (car j'ai aussi une petite fille de 2 ans et demi qui se réveille aussi la nuit, mais que je ne laisse pas hurler pendant une heure), je leur ai collé au cul :
- Les flics pour tapage nocturne
- Le syndic (courrier de rappel à l'ordre)
- Pétition de tous les voisins qui s'en plaignaient
- Convocation de leur employeur à l'agence immobilière qui leur loue l'appartement.
Bizarrement, il n'y a plus de bordel le soir après 21h00.
Et dire que j'ai acheté avec ma femme au dernier étage (sans ascenseur) pour être au calme...

Aujourd'hui, à bout de nerf, je décide d'écrire un message sur voisin-de-merde.
A l'endroit catégorie, j'hésite avec la moitié des catégories... Animaux, nuisance sonore, odeur, propreté, voisin envahissant. Je décide de publier dans inclassable.
Voisin de merde.

Depuis l'aménagement de mes nouveaux voisins, nous avons droit (car je ne suis pas la seule à subir) à des soirées extrêmement bruyante avec toute sa famille et ses amis.
Cela fait plus d'un an que ça dure, et malgré mes coups de sonnette pour lui demander de calmer le jeu, je n'ai réussi à rien.
Au final, j'ai écrit une belle lettre à mon syndic' dans lequel je citais l'article IV de la "Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen" qui stipule que la Liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société, la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi."
Et au final, mon super voisin de "merde" a du déménager.
A bon entendeur...